Le B.C. Green Party a critiqué le British Colombia New Democratic Party (B.C. NDP) pour ses politiques de santé publique et son manque de transparence concernant la pandémie de COVID-19. Les Verts appellent maintenant à des mesures plus ciblées, qui permettraient de mettre fin à la transmission du virus.
B.C. Green Pe leader du parti Sonia Furstenau a révélé sa frustration face aux mesures laxistes du gouvernement et à son approche "passive et réactive" pour limiter la propagation du COVID. Elle a souligné que des pays étrangers ont réussi à contrôler le virus, notamment grâce à des mesures plus "agressives".
"C'est en grande partie grâce à cela qu'ils ont réussi à maintenir les chiffres à un niveau bas", a affirmé M. Furteneau, comme le rapporte le Vancouver Sun.
Les mesures proposées par les Verts
Avant tout, le parti demande plus de précision et de clarté dans le rapport sur les cas de COVID et les vaccins. Afin de remédier à cette lacune, les Verts proposent en augmentation l'augmentation du nombre de briefings COVID de deux fois par semaine à une fois par jour. Ils demandent également au gouvernement de publier des données sur les week-ends et de réfléchir aux différents moyens de sensibiliser les personnes qui ont négligé les restrictions du COVID.
Deuxièmement, les membres du Parti demandent également à la Colombie-Britannique de poursuivre le développement asymptomatique et test rapide dans les espaces publics, tels que les écoles, les lieux de travail et les quartiers. Il est également nécessaire d'accroître l'efficacité et la rapidité de la vaccination COVID et de la détection des variantes.
En outre, M. Furstenau estime que la plupart des étudiants devraient suivre leurs cours en ligne et que la province devrait renforcer les réglementations visant les voyageurs non essentiels. Enfin, les entreprises non essentielles devraient bénéficier d'un soutien financier plus important afin d'éviter qu'elles ne ferment leurs portes.
Le point de vue du gouvernement sur la question
Interrogé sur la possibilité de mettre en œuvre des mesures plus strictes, le premier ministre de la Colombie-Britannique, John Hourgan, s'est montré pessimiste. Selon le Vancouver SunIl a affirmé que des mesures plus strictes dans d'autres Ces provinces canadiennes n'ont pas réussi à éloigner le virus.
Il a déclaré : "La notion de couvre-feu est quelque chose qui n'est pas nécessairement très efficace au combat : "La notion de couvre-feu n'est pas nécessairement très efficace dans la lutte contre la criminalité. Certaines des restrictions les plus sévères imposées en Ontario n'ont pas entraîné de diminution du nombre de cas.
Toutefois, si M. Horgan a déclaré qu'une interdiction de voyager serait complexe à mettre en œuvre compte tenu de la taille de la province et de sa frontière commune avec l'Alberta, il s'est montré ouvert à une discussion plus approfondie sur la question. Récemment, Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l'Alberta, a affirmé qu'une "épidémie importante" de la variante P.1 avait été déclenchée par une seule personne voyageant en dehors de l'Alberta. À la suite de cette révélation, John Hourgan et le premier ministre de l'Alberta, Jason Kenny, ont discuté des effets sur les voyages essentiels et non essentiels entre les provinces lors d'un appel téléphonique. Il est donc possible que des mesures plus strictes soient mises en œuvre entre l'Alberta et la Colombie-Britannique.